Nos prises de parole
Faut-il stopper les lobbies ?
Une dynamique renouvelée, c’est d’abord requestionner les pratiques. Alors que la défiance citoyenne vis-à-vis des politiques atteint des sommets inégalés, les lobbies ne peuvent plus éluder leur part de responsabilité dans la crise : il faut répondre au sentiment d’une connivence néfaste entre les sphères publiques et privées.
Gaëtan de Royer, 25/04/2023
Lobbying, affaires publiques et plaidoyer : le nouveau paradigme
Avec le soutien du cabinet KOZ, le Cedap – réseau des dirigeants d’associations professionnelles – publie les conclusions d’un travail collaboratif, mené avec ses membres, sur les bonnes pratiques en affaires publiques. L’occasion de rappeler les mutations sociétales qui rendent si nécessaire une évolution profonde de la représentation d’intérêts.
Gaëtan de Royer, 07/10/2019
La fin du lobbying ?
Les représentants d’intérêts avaient jusqu’au 30 avril pour déclarer leurs activités sur le nouveau registre, accessible en ligne, de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP). L’occasion de s’interroger sur l’avenir du lobbying, activité peu connue et souvent mal perçue du grand public, dans un monde devenu horizontal et transparent.
Gaëtan de Royer, 30/04/2018
Pour une délibération « augmentée » : le temps des Civic Techs
Nombre de nouveaux parlementaires savent qu’ils devront nouer une conversation nouvelle avec les citoyens et s’armer des nouvelles technologies : non seulement pour sonder les coeurs mais aussi pour nourrir la demande de participation à la délibération collective qui émane de la société civile et qui bouscule les formes instituées traditionnelles de la vie politique (partis, syndicats, associations, ONG…). Un changement de monde. Par Gaëtan de Royer, président de KOZ, cabinet de conseil en affaires publiques.
Gaëtan de Royer, 30/04/2018
Internet et la politique : passer du militantisme communautaire à la démocratie participative
Pour le consultant en affaires publiques Gaëtan de Royer, les réseaux sociaux devraient permettre, à l’avenir, de donner lieu à une plus grande participation des citoyens au gouvernement du pays.
Gaëtan de Royer, 12/07/2017